
Le film est basé sur l’esthétique et non pas sur une intention médicale. Il correspond, d’après des psychiatres, aux réactions possibles chez un individu. La drogue procure des rêves, des visions sensuelles, érotiques, mais cela dans une réalisation propre, non pas malsaine. D’un rythme rapide, il est d’un langage cinématographique qui rejoint certaines productions du cinéma indépendant américain. Aucune parole ne suit le déroulement du film, une musique accompagne simplement l’action. (Médaille d’argent Festival la Louvrière, Belgique, 1968, et prix amitiés Françaises pour meilleur film du genre. Prix du ciné-club Europe pour le meilleur langage cinématographique)